Le patron dépouillé

Y’a quelques temps, le magazine US Rolling Stone a sorti un numéro spécial avec le classement des 500 meilleurs albums. Déjà, le principe des classements je trouve ça complètement ridicule. Et on en revient toujours au principe du prêt à penser, et finalement à un résultat consensuel. Et ça, j’exècre.

Pour finir dans les vingt premiers albums doit y avoir au moins quatre albums des Beatles et des Stones… choix qui me parait plus ce que discutable… Sans compter qu’il ne s’agit que d’artistes anglo-saxons…et que de pop-rock en général…

Quand je vois que Kind of Blue et Love Supreme sont très loin dans le classement, on sait déjà qu’on a à faire à des guignols… Idem pour Bowie, son premier album est Ziggy, hors tout bon fan de David Jones choisirait soit Low ou Hunky Dory… Et là, j’en viens au post d’aujourd’hui, pour le Boss, les deux premiers sont Born to Run et Born in the USA… Hors, si y’a bien un album qui me parait intouchable de Springsteen c’est bien Nebraska. J’ai jamais vraiment aimé la musique du Boss, jamais accroché à son rock, idem pour ses arrangements. Mais en 1982, le bonhomme nous pond une merveille de folk intimiste, parlant déjà des laisser pour comptes, album sombre, une perle noire.

Seul avec sa guitare sèche et son harmonica, les compos sont toutes excellentes. A noter qu’à partir d’un folk, il arrive à rendre hommage au groupe électro-punk Suicide sur le titre State Trooper, fort le gars.

1 commentaire:

  1. En quoi le fait d'avoir mis quatre albums des Stones parmis les vingt premiers meilleurs albums est un chiox discutable? Desquels parles-tu?

    Non, moi offensée?

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