Manchester via NYC

Vingt longues années il aura fallu attendre pour avoir une véritable filiation au Ian Curtis band. Morbleu ! Oui mais finalement ça a valu le coup d’attendre. Et puis, j’ai rien attendu du tout personnellement, puisque j’ai découvert Joy Division sur le tard, na !

Bon après ces quelques digressions infantiles, occupons nous donc du groupe Interpol. Ces derniers se sont formés en 98 à New York, et officie donc dans un rock indie teinté d’ambiances brumeuses made in England. C’est d’ailleurs étonnant que ça nous vienne de NYC, comme quoi, l’adage nul n’est prophète dans son pays... Faut dire qu’après quarante ans de beatlesmania la perfide Albion n’en est pas encore vaccinée, alors bon, qu’un groupe anglais s’intéresse véritablement au répertoire du GROUPE mancunien. On préfère toujours surfer sur le succès des fab four, soit... du coup aujourd’hui si on parle de Manchester, on pense à qui?... Oasis (voir les Stones Roses pour les plus vieux)! Tiens on retourne aux Beatles, étonnant, non ?

Et alors Interpol, me direz vous ? Ils ont eu l’intelligence d’avoir en point de mire Joy Division mais tout en allant de l’avant. De toute façon, à quoi bon rendre un copier coller avec un chanteur qui tenterait d’imiter Ian Curtis ? Le groupe suit donc une évolution qu’aurait pu suivre le groupe mancunien après Unknown Pleasure (le 1er Joy Division), à savoir un rock nerveux teinté de spleen.

3 commentaires:

  1. J'ai remarqué aussi, qu'il y a beaucoup d'imtations du Ian Curtis...

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  2. oui sans doute
    mais ca me choque pas trop
    apres c'est affaire de gout
    en tout cas, musicalement ce n'est pas qu'un vulgaire copier-coller
    c'est deja ca

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  3. Il faudrait noter, combien de chanteur chante comme lui ! lol

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