Apres un EP, Broken, qui déjà annonçait le virage guitares métalliques, ambiance malsaine (Happiness in slavery et son clip dantesque), voici donc en 1994, œuvre ultime de Trent Reznor, The downward spiral. A la différence d’un Ministry, NIN sait se faire plus séduisant, moins brut de décoffrage, mais au final, le propos reste le même : sombre, torture, indus, métallique. Et puis contrairement à Al Jourgensen, les paroles du Trent sont plus focalisées sur les rapports humains, l’autodestruction, et plus sexuées aussi.
Il est aussi intéressant de noter que Marylin Manson doit son succès au père Trent, qui a supervisé l’enregistrement de son fameux Antichrist Superstar. Et à cette époque donc, mi-90’s, le rock indus devient dès lors vachement à la mode aux USA, étonnant non?
Trent Reznor, fut le 1ère à faire du rock industrielle...
RépondreSupprimerbah non, y'a eu Al jourgensen avant
RépondreSupprimerAl jourgensen il a commencé en quelle année ?
RépondreSupprimerthe lnd of rape and honey date de 88
RépondreSupprimerle 1er NIN de 89, mais bon, Pretty hate machine, les guitares, faut tendre l'oreille pour les entendre
Quelle horreur le premier NIN! Heureusement que le second inverse la tendance...
RépondreSupprimerVlad